35 astuces pour faciliter la parentalité
|Depuis la création de ce site, je vous propose de tester des astuces et d’utiliser des outils pour faciliter la parentalité et développer l’harmonie en famille.
Selon cette logique, voici un « best of« de ces astuces avec les liens à explorer.
Bonne lecture !
- Aider l’enfant à identifier et exprimer ses émotions : « Je vois que tu ressens… » (outils ici)
- Transformer l’exigence d’obéissance (domination) en intention de collaboration (respect) (lien ici)
- Favoriser la réparation des erreurs au lieu de punir (lien ici)
- Partager nos émotions de parents sans agresser : « Je ressens… » (lien ici et lien ici)
- Proposer des choix au lieu d’imposer (lien ici)
- Montrer l’exemple pour que l’enfant nous imite (lien en bio)
- Utiliser un timer ou des sabliers : « tu actives ton timer/chronomètre pour le brossage des dents ? » (lien ici)
- Faire parler des objets pour s’appuyer sur l’imaginaire et l’humour : « tes chaussures viennent de me dire qu’elles aimeraient bien sortir maintenant pour aller à l’école ! » (lien en bio)
- Respirer avant de parler sous l’effet de la colère et du stress (lien ici)
- Prendre conscience qu’il n’y a pas de bon ou mauvais parents mais que nous progressons chaque jour (lien ici)
- Être souple sur le coucher en écoutant les besoins et émotions des enfants (lien ici)
- Offrir des câlins pour réparer le lien, remplir le réservoir d’amour et baisser le stress (lien ici)
- Utiliser la formulation positive : « marche lentement » au lieu de « ne cours pas » (lien ici)
- Fixer des règles au lieu d’interdits (liens ici)
- Prendre conscience que nos messages passent aussi (et surtout) par le corps et notre posture (communication non verbale) (lien ici)
- Utiliser un message « je » au lieu de « tu » (lien ici)
- Se rappeler que chacun a le choix de « fabriquer » sa propre éducation en dehors de celle qu’il a reçue
- S’appuyer sur le jeu (parentalité ludique) (lien ici)
- Respirer avec la cohérence cardiaque ou méditer en pleine conscience au lieu de se réfugier sur un écran (lien ici)
- Demander ce dont nous (parents) avons besoin (lien ici)
- Exprimer la gratitude en famille (lien ici)
- Chuchoter au lieu de crier
- Avoir confiance en son enfant et en son devenir (lien en bio)
- S’entrainer à l’optimisme pour soi (lien ici)
- Lire des histoires (lien ici)
- Adopter des rituels pour l’organisation (lien ici)
- Expliquer le fonctionnement du cerveau aux enfants (lien ici)
- Supprimer les chantages et récompenses (lien ici)
- Remarquer oralement les « petits succès » de nos enfants (lien ici)
- Dire souvent « je t’aime » sans condition (lien ici)
- Présenter des excuses (lien ici)
- Signer en famille (lien ici)
- Chanter au lieu de crier (lien ici)
- Confier des tâches aux enfants (lien ici)
- Permettre à l’enfant de manger sans « finir son assiettes » (lien ici)
2 Commentaires
Merci beaucoup pour cet article synthétique ! A chacun de creuser en fonction de ses besoins en suivant les liens. C’est très. Bien fait !! Merci pour ce travail !
Waouhh, quelle mine d’or. Merci pour ce super travail de synthèse. J’apprécie particulièrement le fait d’avoir placé en premier la gestion des émotions. De nombreuses études récentes ont montré une forte corrélation entre le développement des compétences émotionnelles et la réussite globale dans la vie.
par exemple : Une expérience très simple a permis de constater l’impact de certaines attitudes. D.Aspy et F, Roebuck ont demandé à des instituteurs d’inclure un des trois mots : « heureux », « triste » et « fâché » dans le message qu’ils transmettraient à l’élève qui avait fini de lire une phrase ou un paragraphe à l’occasion d’un cours de lecture. Par exemple : « Tu es heureux d’avoir lu tous les mots correctement » ou : « Tu es triste parce que tu n’as pas pu lire certains mots » ou encore : « Tu es fâché parce que tu n arrives pas encore à lire ». Le but visé par les auteurs était que les enseignants parviennent à saisir le sentiment global que chaque élève éprouvait à ce moment précis. Or ces simples messages aidaient les jeunes à apprendre à lire plus rapidement !
Une autre : Dans une étude longitudinale, Edwards, Manstead et MacDonald(1984) découvrent que les enfants de quatre et cinq ans qui sont les plus capables de reconnaître des émotions dans des expressions faciales sont également ceux qui sont les plus populaires auprès de leurs camarades de classe une ou deux années plus tard.
J’en ai plein d’autres mais elle vont toutes dans le même sens.
En tout cas, merci encore pour ce travail.