La bienveillance, l’empathie, l’amour,… développent le cerveau des enfants
« Le cerveau des tout-petits est extrêmement malléable » nous explique Catherine Gueguen dans cette emission spéciale de La Maison des Maternelles.
Ainsi, toutes les expériences qu’il vit (y compris pendant la grossesse) ont des effets sur la structure et le développement de son cerveau dont l’immaturité le prive notamment de la possibilité de réguler ses émotions.
D’où l’importance de cultiver la bienveillance, l’empathie, l’écoute, la compassion…
Écoutez, c’est passionnant !
Source La Maison des Maternelles
Pour aller plus loin…
Pour compléter ce sujet captivant du cerveau de l’enfant : Voici l’intervention de Dr Ghislaine Dehaene-Lambertz, neuro-pédiatre et directrice de recherche au CNRS (durée 20 minutes)
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Madame, Monsieur,
Je félice les auteurs de la Maison des Maternelles ainsi que le Dr Ghislaine Dehaene-Lambertz, neuro-pédiatre et directrice de recherche au CNRS pour leur perspicace intervention sur les bases de l’ épanouissement de l’ enfant. Effectivement des qualités éducatives comme la bienveillance, l’ empathie et l’ amour favorise l’ équilibre psychologique de l’ enfant durant son épanouissement par un amour inconditionnel qui n’ a rien à voir avec toutes les raisons matérielles imaginables.
Sans la moindre explication, le nourrisson le ressent. À mon sens, l’ amour est la base de la confiance en soi et du respect envers autrui, de la responsabilité de soi et future responsabilité civique, de la foi en la vie par l’ amour de la vie.
Et c’ est là que l’ on entrevoit l’ importance de la qualité éducative où la maturité éducative prépare à une individualité plus responsable vers l’ autonomie et humainement aimante, principe d’ éducation favorisant la paix en soi et dans le monde, vers la véritable démocratie internationale.
Avec toute ma gratitude envers les auteurs de la Maison des maternelles pour la mission de maturité qu’ ils réalisent en faveur de notre éveil face à la réalité.
oui nous devrions chouchouter les mamans enceintes, les accueillir, les chérir, les entourer d’empathie, les écouter attentivement toujours et particulièrement lors de grossesses non voulues, les entendre avec notre coeur et les aider … en tout.
Les touts-petits sont » perméables » à toutes les émotions qui les entourent et ils se font leur propre jugement du monde à la suite de ce qu’ils ont perçu. J’ai lu que les mamans japonnaises quand elles étaient enceintes écoutaient de la musique classique particulièrement du Mozart et qu’elles évitaient les films avec de la violence pour ne pas perturber leur bébé dans leur ventre.