Une astuce pour diminuer les colères des enfants en cas de « non »

S’entendre dire « non » n’est jamais agréable de manière générale mais pourtant certaines décisions ne sont pas négociables.

Par exemple, traverser la route sans vérifier qu’il n’y a pas de danger, faire 12 heures d’écran par jour, manger du chocolat alors qu’il n’y en pas… c’est un « non »/stop qui sera prononcé par l’adulte.

La responsabilité du parent est d’accompagner et de savoir dire « non » quand c’est nécessaire.

Si les bases de la coopération sont saines, ces « non » sont accueillis avec empathie. La relation repose sur la confiance et l’écoute.

Et des règles ont été établies et répétées avec l’enfant afin qu’il les comprenne et y adhère. Il aura même participé à leur élaboration.

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