Les repas partagés en famille pendant l’enfance influent sur la sociabilité une fois adulte
Des chercheurs belges ont mené une étude qui a permis de prouver que la fréquence des repas partagés en famille pendant l’enfance avait un impact positif sur le comportement social une fois adulte.
Par opposition aux repas individuels, les repas partagés (tous les aliments pour tous les individus) permettent de considérer et de respecter les goûts de chacun, d’apprendre l’équité et l’altruisme (quantité de nourriture commune).
« Ma » nourriture devient ainsi « notre » nourriture et cette habitude développe les comportements prosociaux plus tard.
A découvrir aussi : les repas en famille, rempart contre l’obésité.
A propos des repas :
Les repas des enfants : les conseils de Catherine Gueguen
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La source indique que c’est le fait de partager le même repas et non le fait de manger ensemble, et c’est la différence entre cette étude et les précédentes qui ne se focalisaient justement que sur le fait de manger ensemble.
C’est le titre de l’article qui porte à confusion car le contenu ne dit pas la même chose.