Le « neurofeedback » pour mieux traiter l’hyperactivité et le trouble du déficit de l’attention chez l’enfant

Je suis maman d’un jeune adulte qui a maintenant 22 ans et qui souffre du TDAH, je dis bien SOUFFRE car depuis son entrée en maternelle à l’âge de 2 ans et demi cela a été le début d’un long parcours semé de réprimandes, de punitions, d’humiliations et j’en passe. Dés la naissance de Gabriel ce fût un bébé qui pleurait énormément, souvent malade. Est venu le moment de le scolariser et très vite la maitresse m’a dit que c’était un enfant difficile, perturbateur, un cancre, un imbécile… J’ai cherché sur le net des forums de parents rencontrant ce genre de problémes avec leur enfant et un jour je suis tombée sur un article au Québec qui parlait du TDAH. J’ai compris alors de quoi souffrait mon petit Gabriel, malheureusement il avait déjà 13 ans et bien amoché par toutes les méchancetés qu’il avait pu subir car bien évidemment ses camarades étaient très malveillant avec lui. Nous, les parents, étions excédé par les remarques quotidiennes de la maitresse et punition Gabriel jour après jour. Aujourd’hui Gabriel a 22 ans, il n’a aucune confiance en lui, n’a pas d’amis, de petite amie, n’arrive pas à travailler d’une façon stable. C’est un jeune adorable, gentil mais le TDAH lui bouffe la vie. Je vais me renseigner sur cette nouvelle science qui peut-être pourrait l’aider. Bon courage à tous les parents d’enfant TDAH qui sont des enfants bien souvent adorable et ne demandant que de l’amour et de la réassurance en permanence.