10 interdictions/négations transformées en affirmations pour mieux collaborer avec les enfants
|Le cerveau des enfants ne comprend pas ou mal la négation.
Lorsqu’il entend : « Ne cours pas », il ne retient que « Cours » soit l’inverse de ce que nous voulons.
Pour les interdictions, le problème est similaire. Il vaut mieux énoncer ce que l’enfant a le droit de faire plutôt que ce qui lui est interdit.
Afin de simplifier notre communication et la rendre accessible aux enfants, je vous propose donc de tester ces 10 ajustements de langage avec des phrases très communes.
10 Commentaires
Ça va M’aider avec les enfants.
Merci beaucoup , bonne continuité.
Bonjour
Je suis directrice des politiques éducatives dans une ville, est il possible d’utiliser vos supports pour diffuser à l’ensemble des familles dans notre ville ?
Et d’utiliser vos articles et liens ?
Merci pour vos retours
Bonjour, merci pour votre message. Du moment que la source est clairement visible, c’est avec plaisir. Vous pouvez me contacter directement en message privé sur Facebook ou via le formulaire de contact du site. À bientôt.
Merci infiniment. Je me suis beaucoup servi de vos conseils avec notre grande de 6 ans et apprend encore beaucoup pour m’aider avec notre petit de 18 mois. Je prend toujours plaisir a vous lire. Je vous souhaite a vous et votre famille une merveilleuse année 2021. En retrospective 2020 m’aura permis de passer beaucoup plus de temps avec mes enfants…et a y prendre un très grand plaisir. Grace a vous je pense être devenu un peu meilleur comme papa
Bonjour et merci pour vos posts toujours très intéressants.
Jusqu’à quel âge pensez-vous qu’un enfant ne comprend pas ou mal la négation ? Y a-t-il des études neurologiques à ce sujet ?
Mon mari, très réfractaire au sujet de l’éducation bienveillante, me soutient qu’un enfant comprend très bien quand on lui dit « cours pas », « crie pas » que le fait de donner des phrases positives ne marchent pas.
Je m’efforce de continuer à m’adresser à notre fils aîné de 9ans (autiste aspreger) avec des demandes positives, mais je n’arrive pas à faire comprendre mon point de vue.
Merci beaucoup pour votre aide.
Dites à votre mari »ne pense pas a un éléphant rose en tutu qui danse »et d’analyser ce qui se passe dans sa tête.
C’est pareil pour ne cours pas
Tout à fait d’accord, et d ailleurs, il y a aussi d’injonctions ‘n oublie pas ceci, cela’ ou encore N’hésitez pas à me contacter … qui invitent (un peu, sans vouloir) à oublier ou à hésiter !
Facile à dire difficile à faire. Toute une équation à refaire ( et je parle du papa/maman ) . Il y a du travail à faire sur soi même mais c’est tellement bénéfique au final.
Merci ☺
Merci.
J’utilise ces phrases grâces au livres d’Isabelle Filliozat et c’est tellement magique
Merci pour tout ce que vous faites
Bonjour,
si je comprends bien, inconsciemment nous incitons l’enfant à comprendre qu’il doit faire l’inverse de ce que nous voulons.
C’est un vrai dialogue de sourd…
C’est quand même grave car l’enfant agissant à l’opposé de notre désir, évidemment nous le réprimandons.
Comment l’enfant peut il ensuite se dépatouiller avec tout ça et surtout faire encore confiance à l’adulte ?
Nous lui inculquons qu’il doit faire l’inverse de ce que nous lui demandons pour ne pas être réprimandé…
Et à quel âge, le cerveau a-t-il la maturité pour comprendre les phrases négatives ?
J’avoue que je me pose beaucoup de questions sur ce sujet.