« L’empathie ne se développe pas chez un enfant qui ressent de l’insécurité »
|Pour aller vers l’autre, s’intéresser à lui, communiquer,…les enfants doivent se sentir en sécurité physique et affective. Ce cadre sécure est la condition du développement de l’empathie.
C’est le constat de Boris Cyrulnik qui poursuit son analyse en évoquant le rôle de la culture pour lutter contre la violence.
Passionnant et inspirant.
Le lien entre le déficit d’empathie et le harcèlement
Dans cette seconde vidéo que je souhaitais partager avec vous, Boris Cyrulnik met en évidence le rapport entre le déficit d’empathie et la tendance à infliger de la souffrance à autrui via le harcèlement.
5 Commentaires
Bonjour Jeff
Un grand merci pour ces deux vidéos.
Il existe heureusement une force que l’on a toutes et tous dans le cerveau : la résilience, et c’est Boris Cyrulnik qui l’évoque aussi.
Même après des souffrances fortes, si l’enfant, ou l’adulte, est entouré d’amour, la souffrance, certes encore présente, diminuera petit à petit.
Au plaisir
Evan
Tt à fait d’accord Evan Boissonnot. Cordialement
Entièrement d’accord.
Nous pouvons nous relever de tout à force de courage, en cheminant vers son coeur…
Merci pour ce partage,
Aline
tres bonne vidéo et conférence docteur CYRULNIK très explicité
Bravo Boris Cyrulnik. Merci aux personnes qui ont mis cette vidéo en ligne. Des études avaient fait l’hypothèse que la hausse du temps d’écrans faisait diminuer l’empathie. Nous en avons fait la preuve en motivant des enfants (et des ados) à réduire leur temps d’écrans. Des centaines d’écoles ont motivé leurs élèves et les familles à réduire le temps d’écrans, et la potion a produit ses effets.