Au lieu de critiquer les mauvais comportements de nos enfants, encourageons les bons
|Le cerveau a une tendance naturelle à voir le mauvais coté des choses. C’est aussi pour cela que nous ressentons plus d’émotions désagréables qu’agréables (et que nous les mémorisons plus). La raison de ce biais est que les aspects négatifs sont des sources potentielles de danger et nous devons survivre !
Il en est de même pour l’éducation : nous remarquerons et critiquerons plus facilement les comportements que nous n’aimons pas chez nos enfants plutôt que ceux qui nous conviennent (qui sont passés souvent sous silence).
Pour contrer cette perception négative, nous pouvons nous concentrer volontairement sur le positif et favoriser l’émergence de comportements acceptables chez nos enfants.
Il s’agit donc d’encourager au lieu de critiquer.
« Oh, je vois que tu as ramassé tes jouets »
« Je suis content.e que tu sois déjà prêt à partir pour l’école »
« Merci de m’avoir aidé à ranger les courses »
« Je crois en tes capacités »
« J’ai remarqué ta persévérance ! »
« Quand nous disons ce type de phrases encourageantes, le cerveau de l’enfant sécrète de l’ocytocine qui entraine la production de dopamine, molécule cérébrale qui donne du plaisir à vivre, stimule la motivation et la créativité. Quand l’enfant va vers une activité avec enthousiasme, avec motivation, il décuple ses capacités d’apprentissage et les chances de réaliser son projet. » nous explique Catherine Guéguen dans son livre « Vivre heureux avec son enfant ».
Et pensons à pratiquer ces encouragements avec nous-mêmes pour profiter des mêmes bienfaits !
Dans l ensemble c est vrai , seulement j ai du mal avec le ”faire” parce que ….. oui forcément c est peut être mieux que de critiquer, oui à la plasticité cérébrale aussi mais qu il est question aussi de nos comportements dus aux blessures que nous avons reçus…. si elles ne se guérissent pas nous ”ferons” parce que …….. qu’en est il réellement de ”être” ? Le ”faire”n est pas à un moment Voué à s épuiser ? Les bonnes résolutions à s amenuiser ? Ce qui me gene dans ces méthodes c est qu il est capital, à mon sens, de toujours préciser qu a coté de ça …. peut etre une guérison est nécessaire Pour que le ”faire” devienne quelque chose de profond en nous qui se manifestera presque tout naturellement 🙂 merci pour l article et votre travail