Parents, quand nous arrêtons de juger ou de nous juger, on agit plus sereinement

Je souhaitais partager avec vous un extrait du magazine Psychologie Positive Magazine à propos des jugements que nous faisons et à quel point cette habitude nous empoisonne la vie. 

 

Si nous apprenons à voir les choses comme elles sont, sans ajouter une couche de dévalorisation, d’étiquetage, de supposition, d’anticipation négative, en nous projetant dans le passé ou le futur, en enfilant les lunettes aux verres teintés par nos croyances limitantes, …, alors, nous ne réagissons plus sous l’effet du stress mais nous observons et adoptons des comportements qui favorisent la collaboration, en toute bienveillance.

Nous parvenons à nous connecter à nos enfants avec clairvoyance (sans parasites).

 

Alors comment faire concrètement ?

Une solution évidente consiste à identifier les moments où le stress nous assaille, provoquant un maelström de pensées irrationnelles.

Dès que nous les sentons, faisons pause, respirons, portons notre attention sur les sensations et regardons sans juger ici et maintenant, puis réfléchissons (au lieu de penser) en choisissant la bienveillance envers soi et notre environnement.

 

Simple ? Non, pas au début car les habitudes sont enracinées depuis des années et les graines ont été plantées dans notre propre enfance (avant d’être copieusement arrosées par la société). Mais quel soulagement mental lorsqu’on arrête de produire des pensées qui ne nous servent qu’à nous rendre anxieux. Notre jardin personnel devient alors plus coloré et accueillant.

 

La méditation peut aider à déconnecter le mental.

La gratitude aussi. Car on ne peut à la fois dire « merci » et critiquer. 🙂

 

A lire pour compléter :

7 intentions pour être parent en pleine conscience

 

 

PS : et si on vous juge, remerciez pour cet avis et continuez à avancer sur votre chemin. N’oublions pas cette citation de Marshall Rosenberg :

« Les jugements portés sur autrui sont des expressions détournées de nos propres besoins inassouvis. »

Donc, c’est celui qui juge qui a une action à mener sur sa vie pour satisfaire ses besoins.

 

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