« L’empathie ne se développe pas chez un enfant qui ressent de l’insécurité »

Pour aller vers l’autre, s’intéresser à lui, communiquer,…les enfants doivent se sentir en sécurité physique et affective. Ce cadre sécure est la condition du développement de l’empathie.

C’est le constat de Boris Cyrulnik qui poursuit son analyse en évoquant le rôle de la culture pour lutter contre la violence.

Passionnant et inspirant.

 

Le lien entre le déficit d’empathie et le harcèlement

Dans cette seconde vidéo que je souhaitais partager avec vous, Boris Cyrulnik met en évidence le rapport entre le déficit d’empathie et la tendance à infliger de la souffrance à autrui via le harcèlement.

 

 

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